OVIEDO                                                               LUGO                                                              SANTIAGO 

EL CAMINO PRIMITIVO 

(Le chemin primitif) 

DIAPORAMA 

DIAPORAMA 

Le "Botafumero" est un cérémonial de la cathédrale qui était bien codifié et n'avait lieu que des jours bien précis (Robert en parle longuement dans son ouvrage déjà cité précédemment - voir à la date du 24 juillet 1999). Aujourd'hui en plus de ces jours, on peut l'acheter ! Cela coûte quelques centaines d'euros (2 ou 3 cars de touristes qui se cotisent et c'est bon !). Cela n'en reste pas moins quelque chose de très spectaculaire. Le lien vous explique sommairement ce qu'il en est.  

Ca sent les "bonus" de fin de DVD ! Ci-dessous, un diaporama de la chose avec nos photos et une video (allez voir sur "youtube", il y en a plein d'autres et peut être des mieux que celle là) 

Nous avons retenu au "Seminario Menor". Nous sommes dans une petite enclave au bout d’un immense dortoir, bien propre. Quelle chance de ne pas être au milieu… 

Une autre vue de la cathédrale (plus dégagée !) et avec le diaporama ci-dessous nous vous amenons sur son toit. 

Et voilà, nous y sommes ! Un petit parcours en ville et c'est la place de la cathédrale, occupée présentement par "Los indignados" (les indignés) à l'image de ce qui se déroule au même moment à Madrid. 

C’est un bel ensemble qui peut accueillir jusqu'à 1 500 personnes ! Une belle petite statue orne une de ses places. 

C’est dimanche, il n'y a pas de service de petit-déjeuner à notre auberge. Nous trouverons peu après le départ le bar d'un grand hôtel ouvert. Nous discutons un peu avec la serveuse qui est des Asturies. 

Le "Camino Primitivo", c'est fini aujourd'hui. On continue au-delà, demain, vers Fisterre et Muxia. Ce parcours sera publié ultérieurement. 

Après avoir contourné l’aéroport et vu beaucoup d’avions décoller, nous faisons un arrêt bistrot à Lavacolla. Empanadas avec un "con leche grande" (grand café au lait) et c’est reparti. 

Au Monte do Gozo, après le passage au monument qui célèbre la venue de Jean-Paul II (Juan-Pablo dos en espagnol !) Nous traversons l'immense centre d’hébergement décrié par certains.  

A Boente, nous sommes dans une albergue privée, en chambre de quatre avec les « rochelloises » Michèle et Sophie. Nous allons visiter l’église et ... à notre retour nous rencontrons "Christian". Celui-ci, un ami de l'association "Compostelle 2000" était parti le 1er avril du Puy. Nous l'avions beaucoup cotoyé avant son départ pour lui donner quelques "conseils d'anciens". Ces derniers jours nous nous faisions la réflexion, sans trop y croire, que nous pourrions le rencontrer compte tenu de sa date de départ. Et le voilà dans le même gîte (il y en a des dizaines), le même jour et dans la chambre à côté de la nôtre ! Un miracle de Monsieur Jacques diront certains, un hasard "miraculeux" d'autres ! Nous n’aurions pas mieux fait si nous avions eu rendez-vous. 

Christian nous raconte un peu son périple et part se coucher de bonne heure car lui est très lève-tôt ! Il y a également  des Hollandais qui ont une descente de gosier impressionnante (bières et vin mélangés !).  Nous sommes ravis de ne pas partager leur chambre…  

Je ronfle. C'est maintenant avéré !  

Nous sommes maintenant sur l’autoroute à pèlerins mais c’est, moins pire que l’an dernier qui était une année jacquaire. A Arzua, nous prenons un jus d’orange et une tortilla dans un bar, un peu à l’écart. Nous y retrouvons des connaissances. Nous poursuivons ensuite le chemin en sous-bois essentiellement, et décidons de nous arrêter à Santa Irene s’il y a de la place. Cette petite auberge à l’écart de la route nous semble une bonne pause avant l’arrivée en ville. Il y a de la place, et nous retrouvons Michèle et Sophie ainsi que les Hollandais d’hier soir… sympa mais quels" poivrots". Dîner  à l’albergue. 

Aujourd'hui très peu de photos. Allez savoir pourquoi ? Deux tout de même ci-dessous et le diaporama sur les horreos galiciens que vous attendiez avec impatience ! 

Vous pouvez également vous reporter à mon ouvrage : "De chez moi, ... à chez moi, en passant par Saint-Jacques de Compostelle" dont il a été question hier. Son parcours entre Melide et Santiago (aller et retour), entre le 21 et le 27 juillet, y figure avec des photos d'époque. 

Melide à Santiago 

DIAPORAMA 

C’est dimanche, il n'y a pas de service de petit-déjeuner à notre auberge. Nous trouverons peu après le départ le bar d'un grand hôtel ouvert. Nous discutons un peu avec la serveuse qui est des Asturies. 

Le "Camino Primitivo", c'est fini aujourd'hui. On continue au-delà, demain, vers Fisterre et Muxia. Ce parcours sera publié ultérieurement. 

Après avoir contourné l’aéroport et vu beaucoup d’avions décoller, nous faisons un arrêt bistrot à Lavacolla. Empanadas avec un "con leche grande" (grand café au lait) et c’est reparti. 

Au Monte do Gozo, après le passage au monument qui célèbre la venue de Jean-Paul II (Juan-Pablo dos en espagnol !) Nous traversons l'immense centre d’hébergement décrié par certains.