(Le "rail des sables" et le "Camino de la Costa") 

 
 

                           LISBONNE                                                             PORTO                                                                SANTIAGO 

LISBONNE-PORTO-SANTIAGO 

(Le "rail des sables" et le "Camino de la Costa") 

Le monastère des Hiéronymites déroule son immense façade à deux pas du Tage. Il relève de l'ordre de Saint-Jérôme très implanté dans la péninsule ibérique. 

Le lien va tout vous dire et vous montrer de magnifiques photos (de l'intérieur notamment). 

La file d'attente, comme à la tour de Belem, aura ici aussi été décisive pour moi ! 

La tour de Belem : le monument probablement le plus connu de Lisbonne. La file d'attente pour y pénétrer un dimanche est décisive en ce qui me concerne : je suis mieux dehors ! 

Le lien répondra à toutes les questions que vous pouvez vous poser sur ce monument et vous permettra d'admirer d'excellentes photos. 

La fin du parcours donne à voir trois monuments emblématiques de Lisbonne et du Portugal en général. 

Ci-contre, le "monument aux découvertes" érigé en 1960 célèbre le 500ème anniversaire de la mort de "Henri le Navigateur". 

Les deux liens ci-dessous vous en feront savoir plus sur les conquêtes coloniales du "petit" Portugal et son principal  initiateur. 

Deux vues, de près, du magnifique pont du "25 avril" et le petit ponton "témoin" d'un autre temps. 

Lisbonne est un port commercial très actif et les piles de containers cohabitent souvent avec les ports de plaisance. 

Comme c'est souvent le cas dans les grandes villes portuaires (Londres, Buenos-Aires, Bilbao, ...) les "délaissés" portuaires et leurs bâtiments se sont ouverts au tourisme. Les restaurants sont à "touche-touche". 

A cette heure matinale (il n'est "que" 11h00 et nous sommes dans la péninsule ibérique !), la promenade est fort agréable. 

C'est le "grand beau" ce dimanche. J'estime en avoir vu assez du centre-ville et je vais me consacrer à la découverte des bords du Tage, en direction de la côte atlantique. 

Les joggers sont à la manoeuvre et les ferrys font la navette entre les deux rives du fleuve. 

Comment aurais-je pu négliger le tramway de Lisbonne ! On accède à tous les transports de la ville (trains de banlieue, métro, bus, trams, funiculaires) avec un peu coûteux "pass" à la journée. Entassé parmi les touristes, j'ai pris une petite ligne décrivant une boucle sur l'une des collines. A un moment, la perche d'alimentation électrique se décroche et le conducteur doit la remettre en place. On peut se demander si cela ne fait pas partie de la prestation à destination des touristes !  

Ci-dessous le lien "youtube" qui vous fait faire une partie de mon  parcours à bord du "28". 

Je vais consacrer l'après-midi de mon premier jour à la visite du centre de la ville. Nous sommes samedi, il fait beau et il y a foule pour visiter cette très belle ville qui comprend "huit" collines (une de plus que Rome !). 

Je fais le tour, un peu au hasard, de ce qui me semble intéressant et selon mon habitude, en ville, je fais peu de photos (le lien Wikipédia vous en donnera quantité). Beaucoup de petites rues typiques (des airs de Montmartre par endroits) et des grandes places monumentales (ici, la place du Commerce qui ne tient pas dans mon objectif). 

Dès la sortie de la gare Santa-Apolonia de Lisbonne nous sommes au bord de l'estuaire du Tage (rio Tejo). Le pont du 25 avril (voir le lien) qui permet aux voitures et aux trains de franchir l'obstacle, barre l'horizon. Il fait plus de deux kilomètres de long et sa travée centrale dépasse le kilomètre. 

Faire le parcours de Tarbes à Lisbonne lorsque l'on a décidé de ne pas prendre l'avion n'est pas une mince affaire. C'est départ le matin du jour précédent pour aller à Irun d'où part, peu après 18h, le train de nuit (trenhotel) qui va me mener à Lisbonne. Je dors toujours mal dans les trains couchettes et si en plus la police des frontières, lors du passage de l'Espagne au Portugal s'intéresse de près au jeune roumain de notre compartiment (lumière allumée, fouille des bagages et ... rien de suspect !). Le Portugal a une heure de décalage avec le reste de l'Europe. Ce qui va m'obliger à patienter encore un peu plus longtemps pour accéder à ma chambre d'hôtel (toujours avide d'exotisme, j'ai réservé à l'Ibis situé en périphérie !). Le métro, pour pas cher, me permettra d'effectuer facilement tous mes déplacements pour visiter la ville et ses environs.  

Lisbonne