TARIFA-ALICANTE 

(Tour de la péninsule ibérique) 

DIAPORAMA 

C'est ici, à Antequera, que, pour une raison qui restera définitivement inexpliquée, nous partirons faire un tronçon qui va nous mener de Puebla de Don Fabrique à Baza. Plus d'explications sur la page suivante. 

Visitons maintenant cette jolie ville qu'est Antequera par le biais d'un diaporama de quelques-unes de nos photos. Le lien ci-dessous vous permettra d'en voir quelques autres. 

Quand il y a des panneaux indicateurs, ils sont de toute beauté ! 

33 kilomètres aujourd'hui et peu de photos sinon cette belle piste d'exploitation qui ondule bordée de champ de céréales. 

Et c'est l'arrivée sur Antequera que nous allons vous présenter. 

Départ probablement très matinal au vu de l'ombre qui règne sur nos photos. 

La photo de droite vous montre le viaduc de la voie ferrée qui pénètre dans la montagne et traversera à un moment la gorge où passe le "Caminito del Rey" 

Sur cette photo "torturée" pour la rendre à peu près lisible voici le départ du "Caminito del Rey" tel qu'il était en 2002 et que nous l'avons vu (à distance !). 

Le lien ci-dessous vous dit tout ce qu'il convient de savoir sur cet ouvrage. 

 

 

Suite à plusieurs accidents mortels, le départ avait été détruit afin de décourager les amateurs de sensations fortes. Cela ne les a pas empêchés d'y aller tout de même (voir le premier lien 2002). 

Le site a maintenant été restauré (en 2015) et l'on peut faire le parcours en toute sécurité (voir le second lien 2019) 

 

 

Vous pouvez noter que les trois acteurs de la version 2002 (ne pas oublier le petit chien !) semblent plus détendus que les visiteurs du site maintenant totalement sécurisé. 

Notre hébergement, c'est la gare RENFE, en service, de El Chorro, un petit village de quelque 250 habitants, au pied du "Caminito del Rey". Nous disposons de l'appartement du premier étage (avec terrasse) géré par le restaurant qui occupe le bâtiment du côté opposé aux voies. La gare n'est pas fermée et il y a un agent RENFE qui enverra un coup de sifflet strident à l'arrivée d'un train sans arrêt alors que Nicole, au milieu de la voie, tente de réaliser "la photo du siècle". 

Tout de même fatigués de nos 40 kilomètres de la veille nous décidons de nous limiter à 15 petits kilomètres ! 

Un dernier regard sur Ardales et, au cours du parcours, une petite fermette joliment aménagé (une probable résidence secondaire). 

Ardales, village blanc de toute beauté surmonté d'un château. Le lien vous le fera visiter mieux que nous n'avons pu le faire car après 40 kilomètres, on ne traîne pas trop par les rues pour photographier. 

Ce sera la terrasse du bistrot où Nicole trouvant son anisette trop forte ira demander qu'on lui rajoute de l'eau. On lui rajoutera de l'anisette !  

Le lien évoque également le "Caminito del Rey". Demain, à "El Chorro", au pied dudit, nous vous en parlerons largement. 

Avant d'atteindre Ardales, le terme de notre étape nous rencontrons des fermes isolées et un beau village blanc (quelques centaines de mètres de bitume pour y pénétrer !). 

Les panneaux indicateurs sont présents ici alors qu'un passage de nuages sombres donne d'autres tonalités au paysage. 

Des fleurs, des fleurs, ... et toujours ces magnifiques et sinueux chemins agricoles 

Notre journée de repos à Ronda était une bonne idée. Aujourd'hui, nous allons parcourir une qua-rantaine de kilomètres ! 

Nous ne circulerons que sur des chemins agricoles dans une campagne vallonnée et fleurie. Adieu le bitume. 

La distance ne nous aura pas le moins du monde affectés. Un paysage d'une telle beauté fait oublier les kilomètres. 

Les maisons de la vieille ville au bord de la falaise et une vue des deux villes (ancienne et nouvelle). 

Et quelques lieux caractéristiques de la vieille ville. 

Cette plaque commémorative, que l'on découvre dans un passage pié-tonnier menant aux arènes, célèbre Ernest Hemingway, aficionado, s'il en est, de la tauromachie. 

La vieille ville de Ronda est entourée de falaises abruptes. Le pont-Neuf (Puente Nuevo) de 98 mètres de hauteur, sépare la ville ancienne de la nouvelle (photo en bas, à gauche). C'est de celui-ci que plus de 500 partisans du Général Franco furent précipités dans le vide par des Espagnols restés fidèles à la République. Ernest Hemingway, qui a combattu aux côtés des républicains, relate cet épisode tragique de la guerre civile dans son ouvrage "Pour qui sonne le glas". 

Seconde page de ce parcours en continuité qui va nous mener jusqu'à Antequera. Après cela se complique mais, on vous expliquera le mieux possible, le moment venu. 

Ronda méritait que l'on s'y attarde une journée. De plus nos étapes frisant les 40 kilomètres n'étaient pas sans conséquences sur notre physique. 

Nous avons fait beaucoup de photos, toutes surcolorées, mais on tient à vous les montrer même si souvent, elles font double usage avec celles de "Wikipédia" (liens ci-dessous). 

Une grande partie de la célébrité de Ronda vient de ses arènes qui sont les plus anciennes d'Espagne encore en service. 

La tauromachie, diffusée tous les soirs à la télé en Espagne, ce n'est pas vraiment notre "truc". Une belle et sobre entrée et les statues de deux célèbres toreros (nous vous laissons le soin d'en trouver les noms sur le net). 

Et encore plus fort un lien qui va vous permettre d'aller y voir l'intérieur. 

Ronda à Antequera 

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